Ta main, Léa, aussi belle que les oiseaux étincelants,
M'accompagne au fond des ouragans marrons
De tes yeux en tempête
Et me fait filer le long de fils bruns
Comme un un aigle se cachant près de toi...
Puis l'aurore...
Mon rêve meurt dans les profondeurs de mes songes
Ô douce étoile, ne meurs pas toi aussi.
Par Tassadar .